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2014/2016
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Murielle picou
- 13 août 2016 - 2014/2016, Au quotidien
Petit détour par la France
Quelques évènements familiaux incontournables, et nous voilà en France pour plusieurs semaines. L’occasion de retrouver certaines régions et d’en découvrir d’autres ; Charente-Maritime, Bretagne et Bourgogne nous ont rappelé qu’en France aussi, il y a de très beau endroits !!
CHARENTE MARITIME
La Rochelle
Le port de la Palice et Fort Boyard, lors d’une balade en hélicoptère
Angoulins et Châtelaillons
BRETAGNE
Brest et ses environs
Avec du soleil (enfin, plus qu’on ne s’y attendait !)
St Brieux, Morlaix
BOURGOGNE
Chalon sur Saône
Beaune
La France est un grand et beau pays qui mérite de prendre le temps qu’on le visite ; mais l’Amérique du Sud et notre camion nous attendent, et nous y retournons dans quelques jours.
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Murielle picou
- 8 juin 2016 - 2014/2016, Au quotidien
Sao Francisco do Sul (Brésil – Sta Catarina)
Le Brésil sans soleil, c’est un peu difficile à avaler car bien loin de l’idée qu’on s’en fait (interminables plages, soleil, bronzette, filles en monokini, musique, …). ;
A la recherche de cet astre tant aimé, nous avons traversé (à la course) le pays d’ouest en est, persuadés que sur la côte, nous allions le trouver. ERREUR !
Après quelques jours d’impatience, la pluie a cessé, et le soleil est apparu ; pas de quoi étrenner nos maillots de bain brésiliens flambant neuf, mais au moins la possibilité de se balader un peu. Juste un peu, car si le soleil est là, la fraîcheur aussi ! La région Santa Catarina connait une période de froid inhabituelle qui surprend ses habitants (et nous donc !!) : 7° la nuit et 20 à 22 la journée, avec chute brutale de la température dès 15h.
Et puis on a eu un jour de vrai soleil ; nous en avons profité pour prendre le bus et aller visiter le centre historique de Sao Francisco do Sul ; c’est la 3ème plus ancienne ville du pays et elle a été fondée par les français (avant qu’ils n’en soient chassés).
Le gag du jour a été le moment où le moteur du bus s’est arrêté ; alors que nous nous croyons en panne pour longtemps, le contrôleur a tranquillement soulevé le capot moteur et le chauffeur a donné 2 coups de maillet sur le démarreur ; puis il a donné un tour de clé … et le bus est reparti ! Commentaire d’un passager à notre intention : “C’est ça le Brésil !”.
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Murielle picou
- 25 mai 2016 - 2014/2016, Au quotidien
BONITO (Brésil Mato Grosso do Sul)
Un arrêt de quelques jours à BONITO nous a permis de faire quelques activités touristiques ; mais nous sommes un peu déçus car cette ville dont le Brésil veut faire un exemple d’écotourisme nous prive, pour le coup, de toute liberté : pas moyen de visiter un site sans passer par une agence de tourisme, et ce dans un périmètre de plus de 60 km !! Les agences s’entendent et pratiquent toutes le même prix pour des prestations … plus que moyennes.
Une fois sur place,reste plus qu’à partir ou, quand on ne sait pas, rester et payer ; faisant partie de la seconde catégorie (ceux qui ne savaient pas), nous avons payé 3 activités.
La 1ère consistait en la visite d’un lieu appelé Boca Da Onça (à environ 60km de Bonito ; il s’agit en fait d’une fazenda qui, en plus de l’élevage, propose une promenade à travers ses terres pour voir 11 cascades. La balade est faisable en 1 heure, mais grâce à des arrêts “baignade” (dans une eau qui varie de 11 à 15°), elle dure 4h. Le bon point, c’est le déjeuner qui termine l’excursion (rien d’original, mais bon et copieux).
Bruno et notre guide ont d’abord gouté l’eau à 14° ; un peu plus loin, c’est Kendra qui s’est mise à l’eau et s’est s’amusée à passer entre 2 bassins en plongeant sous une énorme roche.
La 2ème activité, réalisée le lendemain matin à quelques km de la ville, était l’accro-branches ; si le parcours était sympa, il ne durait que … une trentaine de minutes ; la encore le bon point était la fin : une tyrolienne qui se termine dans l’eau (toujours aussi fraiche d’ailleurs !).
La 3ème activité, le “Boia cross”, faite à la suite de la seconde et située sur le même site, consistait en une descente de rivière sur une bouée au milieu d’énormes poissons. Là encore, à peine une demi-heure et c’était fini.
Cerise sur le gâteau, les photos sont réalisées par les accompagnateurs qui vendent ensuite le CD sur lequel figurent toutes les personnes qui ont participé (ouf, nous n’étions du 6 !).
A 11h, tout était terminé, il ne nous restait plus qu’à rentrer au camion pour déjeuner et digérer notre frustration.
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Murielle picou
- 20 mai 2016 - 2014/2016, Au quotidien
Le Pantanal brésilien (Brésil, Mato Grosso do Sul)
Notre guide LONELY PLANET indiquant des possibilités de mini-croisières de 3 à 4 jours dans le Pantanal bolivien, nous en avons rêvé ; mais la réalité est un peu différente, et la Bolivie ne nous a proposé que des excursions en voiture. Nous avons donc traversé la frontière et nous voilà bien dans le Pantanal, mais côté brésilien. Quelques tours de roues nous ont rapidement convaincus que nous avions fait le bon choix ; il suffit de quitter la BR 262 (route principale) pour voir déjà des milliers d’oiseaux, des caïmans,tatoos, tamanoirs, capibaras, singes ...
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Murielle picou
- 16 mai 2016 - 2014/2016, Au quotidien
Petite pause au soleil (Bolivie)
Après plusieurs jours à rouler sous un ciel bas et nuageux, quel bonheur de retrouver un peu de soleil ! Quand en plus on peu s’arrêter dans un camping (notre 1er en Bolivie) bordé par une rivière chaude (si-si !!), c’est géant.
Du coup, on prolonge un peu la pause ; n’oublions pas que nous sommes en Bolivie, mais en zone amazonienne : température extérieure de 30 à 40° ; température de l’eau : 38.8° !
Et en plus, l’eau est très claire !
Comme c’est le week-end, il y a pas mal de monde, et notamment plusieurs groupes de mennonites ; d’origine allemande, ils ont la peau très blanche, parlent la langue de Goethe et portent des vêtements qui les font tout de suite remarquer : les femmes et les petites filles ont des robes longues et sombres, des chaussettes et les cheveux couverts d’un voile sombre ; les hommes et les garçons (même petits) sont eux vêtus de salopettes noires (parfois des pantalons à bretelles), de chemises à manches longues et de casquettes noires. Ils vivent selon certains préceptes stricts de la bible (le baptême comme un engagement pris lorsqu’on est en âge de le comprendre, le pacifisme,….) ; au Paraguay, nous en avions vu qui refusaient aussi tout modernisme et se déplaçaient en charrettes tirées par des chevaux ; ici, nous avons vu que les hommes mangeaient sur une table et les femmes et les enfants sur une autre. Mais bien qu’ils soient vêtus comme au début du siècle dernier, ils sont venus à bord de gros 4X4 !
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Murielle picou
- 13 mai 2016 - 2014/2016, Au quotidien
SAN JOSE DE CHIQUITOS (Bolivie)
La route des missions jésuites n’intéressant guère qu’un seul membre de notre famille et les conditions climatiques ne s’y prêtant pas (la plupart des missions ne sont accessibles que par des pistes et du fait de la pluie des derniers jours, celles-ci ne sont pas praticables) , la seule mission que nous visitons est celle de SAN JOSE DE CHIQUITOS (le village étant en plein sur notre route !).
Le village s’est développé autour des ruines, et nombre de traditions héritées des jésuites perdurent, comme certaines danses, la sculpture de statues en bois ou l’école de violon accessible à tous les enfants. N’oublions pas que les missions jésuites cherchaient à faire vivre les populations indigènes dans la foi chrétienne tout en respectant leurs traditions et leurs arts auxquels ils en ajoutaient d’autres, venant d’Europe.
Restaurée à partir de 2006, nous ne lui avons pas trouvé le charme et la force d’évocation des missions du Paraguay. Mais il ne faisait pas très beau et nous devenons peut-être un peu difficiles !
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Murielle picou
- 9 mai 2016 - 2014/2016, Au quotidien
130 km de piste fatiguante (Bolivie)
A partir de COCHABAMBA, pour aller à SANTA CRUZ, nous avons choisi de suivre la route passant au sud de la Cordillera Orientale, c’est à dire la nationale 7. Sur les 500km séparant ces 2 villes, il y a un tronçon de 130 km, entre EPIZA et COMARAPA, qui est en travaux ; c’est une bonne chose, vue que cette partie de route nationale est dans un tel état qu’elle ressemble plutôt à une piste. Pour vous en donner une petite idée, je vous retrace ici le périple.
9h30 : nous prenons la route : il fait beau et les paysages sont superbes.
11h : début de la piste et signalisation des travaux
14h : quelques nuages, poussés par un vent fort, dévalent les sommets : c’est joli !
16h: on en ai déjà à notre 3ème arrêt de 10 à 15mn pour les travaux, et le brouillard s’en mêle.
16h30 : le brouillard s’intensifie (on est à 3500 m d’altitude) et … tiens … une surprise !
17h10 : le brouillard disparait (on redescend un peu) et le soleil réapparait !
17h30 : les hommes affectés aux travaux routiers rentrent chez eux.
Ayant entamé ce tronçon à 11h et nous étant garés à 18h, même en retirant 1h d’arrêt déjeuner, il reste 6h. 6h passées sur cette piste pour avancer de 115 km ; je vous laisse calculer notre moyenne ! Et demain on termine les 15 derniers km !
1ère photo : le 07 2ème photo : le 09 à 18h
Cerise sur le gâteau : l’avant veille, nous avions fait laver le camion !!!
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Murielle picou
- 7 mai 2016 - 2014/2016, Au quotidien
Cap à l’est ! (Bolivie)
Ce n’et pas sans regret que nous avons quitté les douces rives du lac TITICACA ; mais il faut bien avancer, et nous voulons, cette fois, traverser la Bolivie d’Ouest en Est. Nous avons donc traversé une (toute petite !) partie du lac par barge. L’état de ces embarcations s’est amélioré depuis 5 ans, mais le vent aidant, on est toujours un peu inquiet tant qu’on a pas rejoint la berge d’en face.
Nous avons traversé LA PAZ, capitale la plus haute du monde ; entre les travaux, les marchés, l’absence de panneaux indicateurs et le mode de conduite des boliviens (c’est le plus gonflé qui passe, quelles que soient les circonstances !), nous étions très pressés d’en sortir !! Nous avions visité la vieille ville en 2011, et cette fois les quartiers périphériques, avec leurs rue pleines de poussière et leurs maisons jamais finies nous ont fait fuir.
Décidément, au risque de passer pour des sauvages, nous préférons, et de très loin, les grands espaces. D’autant que ce pays offre de très beaux paysages à nos regards avides.
La ville de COCHABAMBA (500 000 habitants) ne nous a pas, non plus, retenu bien longtemps : juste le temps d’y déjeuner, d’y faire laver le camion et de la traverser !
Notons que le lavage des camions est ici une affaire de femmes et de famille ! Dans pratiquement tous les postes de lavages de véhicules que nous avons vu, ce sont des femmes qui sont patronnes et qui lavent ! Ce commerce est souvent ajouté à un petit restaurant et/ou à la vente de denrées alimentaires.
Par contre,nous avons fait un bivouac bien agréable près des ruines incas de INCALLAJTA. ce site est considéré en Bolivie comme le “mini Machu Pichu” ; pour nous, la comparaison est un peu forte, mais le site est tout de même très grand et a dû avoir une grande importance dans l’empire Inca.
Bien sur, Kendra et Bruno n’ont pas raté l’occasion d’illustrer (à leur manière), la fonction de cette belle pierre sacrificielle.
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Murielle picou
- 4 mai 2016 - 2014/2016, Au quotidien
Copacabana (Bolivie)
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C’est donc en longeant le lac TITICACA que nous sommes passés du PEROU à la BOLIVIE.
La 1ère ville sur notre route est COPACABANA. Nichée entre des collines et le lac, l’unique station balnéaire bolivienne est très touristique ; c’est de là que partent les visites de l’ISLA DEL SOL et de l’ISLA DE LA LUNA. Nous les avions déjà parcourues en 2011, donc, pas de photo cette année !
Par contre, nous avons pris le temps de flâner le long du lac, d’escalader les collines pour voir la ville de haut, de déambuler dans un centre-ville dédié au tourisme (et pour quoi pas ?)
Défilé folklorique à l’occasion d’une fête de quartier et avant que la ville et le lac ne s’endorment.
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Murielle picou
- 2 mai 2016 - 2014/2016, Au quotidien, Entre 2 : Babken change
Chao Pérou, pays de culture et de traditions
Après 5 jours à CUSCO (le temps passe si vite), il est temps pour nous de reprendre la route, cap à l’est, vers la frontière bolivienne.
Les sites archéologiques sont toujours aussi nombreux et en dehors de leur intérêt culturel, ils sont aussi pour nous de bons lieux de bivouacs.
A RAQCHI, nous avons donc dormi près du temple de VIRACOCHA, le dieu Inca suprême, créateur de l’univers
Un peu après PUNO, ce sont les ruines de MOLLOKO qui ont eu le plaisir de nous recevoir !
Et puis, nous avons atteint le Lac TITICACA ; encore quelques km, et nous passons en Bolivie.
Alors avant de quitter le Pérou, encore quelques images :
Garde armé (colt + fronde !) Homme fatigué Vente ambulante
Nous aurons, pour cette fois, parcourus 3250km en 32 jours dans ce beau pays, essentiellement dans le sud et l’est. Insuffisant, mais tellement beau !
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